Les 10 faits inédits sur les Jeux Olympiques 2024 de Paris !
Découvrez les coulisses d’un photographe et les faits inédits lors des Jeux Olympiques de Paris 2024 !
Les 10 choses inédites des Jeux Olympiques vue du côté des médias.
- Les accréditations pour les médias ( photographe et journaliste) se font de manière strict et sélectionnée, environs 12-14 mois avant l’évènement. C’est l’ association faîtière du sport de chaque pays qui décerne un nombre réduit d’accréditation.
- Chaque sport / salle / lieu possède des positions photos où un nombre réduit de photographe peuvent se placer pour capturer l’évènement, certaines fois les photographes peuvent se placer dans le public si des sièges sont libres mais le placement est assez strict, il est donc plus compliquer de faire des clichés unique et artistique que dans d’autres évènement avec moins de média et de spectateur.
- Chaque édition des Jeux olympique il y a environ 1500 photographes de 100 pays différents qui sont accrédités. Les photographes travaillant pour des agences phares tel que AFP, Reuters, Getty image ont des accès privilégié afin d’être encore plus près de l’action et des athlètes étant donner que leur société distribuent les photos dans le monde entier.
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Photographes
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Pays
- Les différentes marques tels que Canon, Sony et Nikon ont un bureau où elles prêtent gracieusement du matériel aux photographes présent tels que des boitiers, des objectifs : 600 ou 800mm pour couvrir des événements bien particulier. De plus, les marques réparent, révisent et nettoient les capteurs des photographes accrédités
- Les photographes peuvent shooter ou aller voir toutes les épreuves qu’ils souhaitent, avec leur accréditation, il suffit juste de scanner son accréditation à l’entrée de chaque stade ou épreuve. Certains profitent s’ils ont la chance d’avoir un jour off ( ce qui est rare) pour aller voir une épreuve qui leur tient à coeur pour leur plaisir. A noter que certaines épreuves tel que la finale du 100M en athlétisme ou certaines épreuves très couvertes par la presse internationale requiert une demande spéciale à l’organisateur qui sélectionne les photographes pouvant le couvrir pour éviter une surcharge des positions photos.
- La majorité des photographes travaillent avec leur appareil photo brancher à un cable lan directement relié au réseau internet, ce qui permet au photographe d’être concentré sur son travail et qu’à distance un éditeur réceptionne les images sur son ordinateur, les trie, sélectionne, retouche et edit pour les livrer le plus rapidement possible au client. Ce genre de connexion cablée permet d’envoyer entre 2 et 20 photos par seconde dépendant du lieu et de la connexion.
- Les grandes agences tels que AFP, Reuters et bien d’autres travaillent avec des appareils photos robot, pilotables à distance qui sont installés en hauteur, sous l’eau ou dans des endroit ou les photographes n’ont pas le droit de s’y tenir, notamment sur le toit du stade olympique où les photographes n’ont pas le droit de s’y tenir. Les caméras peuvent être pilotées à distance depuis la salle de presse ou même depuis un autre pays. Lors des derniers JO de Tokyo ces caméras robots représentaient le quart du coût total des frais qu’une agence dépense sur la compétition.
- Les sponsors ou team des athlètes qui ne sont pas en partenariat avec le CIO ne peuvent pas faire de la promotion sur les Jeux Olympique. Prenons l’exemple d’un sponsor privé d’un athlète qui gagne une médaille aux JO de Paris, si celui ci n’est pas partenaire des JO comme par ex Omega, Coca Cola, Allianz ou Visa, ne pourra pas faire la promotion de son athlète et de sa médaille dans une campagne de publicité.
- Chaque site / compétitions les photographes mais aussi les spectateurs se font fouiller comme dans un aéroport, le sac passe dans un tunnel à rayon X, chaque personne est palpée et passe à travers un détecteur de métaux. Aucun risque ne doit être pris qu’une personne entre avec un objet dangereux ou avec de mauvaises intentions.
- Fun fact : Un photographe sur les Jeux Olympique peut avoir sur lui jusqu’à 4 boitiers, cela lui permet de ne pas avoir à changer d’objectifs. Un boitier aurait un grand angle, un autre 24-70mm, 300 ou 400mm et un 600mm ! Tout cela fait environ 10 kilos !